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Ronnie O’Sullivan ‘hasn’t given up on Hong Kong’, immigration chief says

Newlywed seven-time world snooker champion has revealed that he plans to move to the Middle East and has reportedly sold his UK home

Snooker star Ronnie O’Sullivan, who obtained Hong Kong residency last year through a talent scheme, “has not given up” on the city, the immigration chief has said, despite the newlywed seven-time world champion recently revealing plans to move to the Middle East.

Asked about O’Sullivan’s intentions after he confirmed two days ago that he had married actress Laila Rouass, Director of Immigration Benson Kwok Joon-fung said on Sunday that he had been in touch with him and had stressed that Hong Kong’s door was still open to him.

“As far as I understand, a lot has been happening for him in the past few months, and it’s hard to say if his immigration plans will change,” Kwok said.

“However, he also hasn’t given up on Hong Kong. From what I know, he is expected to come to Hong Kong next month to attend the opening ceremony of his snooker club here.

“He really likes Hong Kong, so if there are things here that can entice him to stay, he might just choose Hong Kong as his place of residence.”

British media reported the 49-year-old snooker star was selling his £2 million house in Essex and planned to head off to the United Arab Emirates with his new wife.

Video teases new Chinese blackout bomb that can knock out enemy power stations

Animation shared by state broadcaster shows what appears to be graphite bomb designed to disrupt command and control systems

A social media channel run by CCTV shared an animated video showing the weapon being launched from a land-based vehicle before ejecting 90 cylinder-shaped submunitions.

The weapon aims to disrupt enemy command and control systems by triggering widespread electrical outages over an area of at least 10,000 square metres (107,639 sq ft), according to the channel.

However, the broadcaster offered no details about the weapon’s designation or its status. It referred to the weapon as “a mysterious type of domestically made missile”. It remains unclear which stage of development it has reached, or if it has been deployed by the Chinese military.

Last bite for diners before popular City’super food court closes in Hong Kong

Popular food court packed with regulars and occasional diners before officially ceasing operations

Diners got their fill one last time as a decades-old food court in high-end supermarket City’super in Hong Kong’s Times Square shopping centre served its final customers on Sunday.

The closure of the Amazing Food Hall, located in the basement of the upscale Causeway Bay shopping and office complex, marked the end of an era for the premium supermarket chain’s dining ventures.

The food court, popular for its offerings of sushi, grilled meats, noodle dishes, a well-stocked wine and sake cellar, and a variety of international delicacies, officially ceases operations on Monday.

A small notice displayed at the entrance informed customers of the closure “due to operational changes”.

The food hall was packed with regulars and occasional or new diners – some unaware it was their final chance to enjoy the venue.

Cindy Kwong, a retiree in her sixties who previously worked in marketing, said she had been a loyal patron for six years, often visiting five times a week as her yoga classes were nearby.

Municipales 2026 : à Nîmes, dirigée depuis vingt-cinq ans par la droite, « on sent qu’une page se tourne »

Une concertation en ligne à laquelle on accède en scannant un QR code sur son téléphone, des cafés en tête à tête avec un candidat, des projections débats, des commissions thématiques, des apéros jeunes, sans oublier des posts sur les réseaux sociaux par dizaines… Depuis plusieurs mois, à Nîmes, si la campagne pour les municipales de 2026 n’est pas officiellement lancée, les initiatives se multiplient. Après vingt-cinq ans d’une mairie acquise à la droite et à un seul et même homme, Jean-Paul Fournier (Les Républicains, LR), qui tire sa révérence en mars prochain, Nîmes est en transition politique.

L’union de la gauche, menée par Vincent Bouget, 45 ans, en est une illustration. Parti d’une feuille blanche fin 2024, le communiste, leader de l’opposition municipale, avait proposé à tous ceux qui le voulaient de le rejoindre« pour leur proposer un chemin en vue des élections municipales »mais surtout« une méthode, pour trouver les moyens de réparer la fracture démocratique ».

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En Belgique, la députée transgenre Petra De Sutter reprend l’université

Elle est comme chez elle au palais de la Nation. Petra De Sutter, 62 ans, se balade, baskets aux pieds, dans les dédales de la Chambre des représentants belge. Arpentant, d’un pas large et déterminé, les longs couloirs feutrés de ce bâtiment bruxellois d’architecture néoclassique orné de peintures royales, de pilastres ioniques et de bustes d’anciens premiers ministres – uniquement des hommes blancs. Saluant ici un huissier, lançant là un« Hallo ! »chaleureux à une collègue parlementaire.

Le 21 juillet, la députée écologiste flamande (Groen) passera la main à son suppléant pour rejoindre une autre institution prestigieuse, l’université de Gand (UGent), où, le 30 avril, elle est devenue la première femme transgenre rectrice en Flandre.

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François Hollande votera la motion de censure contre le gouvernement Bayrou sur les retraites

François Hollande, redevenu député du Parti socialiste (PS), votera la motion de censure contre le gouvernement Bayrou déposée par son groupe, pour participer au« coup de semonce »sur les retraites, mais il est prêt à l’avenir à soutenir des mesures concernant les femmes ou la pénibilité si l’exécutif les présente au Parlement.

« J’ai une position de principe : ne pas ajouter de l’instabilité à l’immobilisme. Je suis donc opposé à toute précipitation du calendrier électoral », a d’abord défendu, samedi 28 juin dansLe Parisien, l’ancien président de la République, défavorable à ce que le nouveau gouvernement soit censuré (il avait voté la censure de Michel Barnier).« Mais je comprends la démarche du groupe socialiste d’adresser un coup de semonce au gouvernement, qui a manqué à son engagement de déposer un texte sur les retraites au lendemain du “conclave”. Donc, je voterai la motion de censure dès lors que le RN[Rassemblement national]ne s’y associera pas », a ajouté le député de Corrèze.

« Pour la suite, je soutiendrai toutes mesures favorables pour les retraites des femmes, pour l’abaissement de l’âge de départ sans décote, et surtout pour la reconnaissance de la pénibilité si le gouvernement venait à les reprendre malgré l’obstruction du patronat », a poursuivi M. Hollande.

L’ensemble dugroupe PS a déposé une motion de censure, reprochant à François Bayrou de ne pas avoir respecté l’engagement de revenir immédiatement vers le Parlement après l’échec du « conclave » des retraites. Ils espéraient que pourrait y être discutée une remise en cause de l’âge de départ en retraite à 64 ans.

Cette motion devrait être soumise au vote mardi, selon plusieurs sources parlementaires, mais n’a aucune chance de recueillir les 289 suffrages nécessaires, en l’absence des voix du RN qui renvoie une éventuelle censure aux débats budgétaires de l’automne.

Quoi qu’il advienne, le PS n’aura« plus aucune indulgence »à l’égard du premier ministre et adoptera une position très ferme lors de la discussion du budget 2026, a prévenu dimanche sur LCI son premier secrétaire, Olivier Faure.« Nous souhaitons que François Bayrou ne soit plus premier ministre et qu’il y ait un véritable changement, que nous trouvions un interlocuteur à Matignon », a poursuivi M. Faure, interrogé sur les propos de François Hollande, et mettant en garde :« Il n’y aura pas deux fois la même main tendue. »

François Bayrou s’est dit, de son côté, prêt à« trancher »à la place des partenaires sociaux s’ils ne s’accordaient pas d’ici à la« mi-juillet », et à mettre certaines mesures en débat même sans accord global, en intégrant par exemple des points de consensus au projet de budget de la Sécurité sociale (PLFSS) qui sera débattu à l’automne. Devant la presse,il a défendu dans la semaine des« avancées »déjà actées, comme l’amélioration du calcul de la retraite pour les femmes ayant eu des enfants ou l’abaissement de l’âge de départ sans décote, à 66 ans et demi contre 67 ans actuellement.

Sur le volet international, l’ancien président de la République s’inquiète par ailleurs du recul des valeurs démocratiques.« Si nous n’entravons pas ce processus, les conflits s’installeront durablement. C’est le rôle de l’Europe et de la France en particulier que de l’enrayer. Et non pas de le subir », a-t-il expliqué, reprochant aux Européens de ne pas être assez fermes face au président des Etats-Unis, Donald Trump.

En Suède, dans un marché libéralisé, la crise du rail s’aggrave

Älvsbyhus est le plus gros producteur suédois de petites maisons en bois. Inaugurée en 1959, dans la commune d’Älvsbyn, à 900 kilomètres au nord de Stockholm, son usine a été bâtie en bordure de la voie ferroviaire. Mais aujourd’hui, les maisonnettes d’Älvsbyhus voyagent en camion. Pour l’entreprise, comme beaucoup d’autres sociétés suédoises, le chemin de fer est devenu trop cher et incertain. En 2024, seulement sept trains de marchandises sur dix sont arrivés à l’heure et la durée des trajets n’a cessé d’augmenter, tandis que le nombre de gares de fret a chuté de 900 à 200 depuis 1989.

La crise du fret n’est qu’un symptôme parmi d’autres d’un dysfonctionnement bien plus large du réseau ferroviaire suédois, l’un des plus dérégularisés au monde. Si la libéralisation du secteur, menée à partir de 1988, a permis de faire entrer de nouveaux acteurs sur le marché, poussant les prix à la baisse sur certaines lignes et accroissant l’offre ferroviaire, l’entretien des rails et les investissements n’ont pas suivi. Résultat : les incidents techniques se multiplient et provoquent des retards en série, dans un système au bord de la congestion, alors que le trafic a augmenté de 65 % ces trois dernières décennies.

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En Chine, la « Dalifornie », un eldorado bohème pour jeunes en quête de sens

ReportageDans la province chinoise du Yunnan, Dali est la ville de ceux qui disent « non » en silence. Ce refuge un peu bobo accueille de plus en plus de jeunes désireux de fuir les écrasantes mégapoles d’un pays dont la croissance toussote, et de se soustraire à la course au succès dictée par le régime. Une opposition douce qui n’échappe pas à la vigilance du pouvoir.

Entre les pentes verdoyantes des monts Cang et le lac Erhai, dont rien ne semble pouvoir perturber les eaux paisibles qui reflètent les teintes bleu gris du ciel du Yunnan, il existe un paradis. Un lieu où il est loisible de laisser derrière soi le passé, les mégalopoles et leur pression, et de tout recommencer : choisir son existence, sa trajectoire, prendre en main son destin.

La cité de Dali, petite ville à l’échelle de la Chine avec ses quelque 770 000 habitants, située dans le sud du pays, est devenue synonyme de nouveau départ.« C’était la volonté de changer de vie »,raconte un soir de mai Tanya Guo, 26 ans, cheveux mi-longs, pour expliquer comment, il y a un an, elle a quitté Pékin pour s’installer ici. Après ses études, elle a trouvé un emploi au sein d’une grande entreprise de soutien scolaire de la capitale, mais elle a commencé à se demander à quoi tout cela rimait, ce métro-boulot-dodo avec un salaire permettant tout juste de vivre, au regard du coût du logement dans les grandes mégapoles.« Ce n’était pas la vie que je voulais »,dit-elle.

Dans les discussions avec ses amis, la question d’aller s’installer dans un endroit choisi et non subi revenait régulièrement. Et très vite, quand ce sujet est abordé en Chine, c’est le nom de Dali qui surgit. La petite ville, avec ses paysages apaisants, est devenue synonyme de bohème. Son climat a tout pour séduire, ses nouveaux habitants trouvent qu’il y fait bon, été comme hiver. À un peu plus de deux heures de route au nord, la région tibétaine de Shangri-La, avec ses sommets de plus de 5 000 mètres, subit des hivers glacials. A quelques heures au sud, le climat est franchement tropical, comme en Birmanie – la frontière est à 130 kilomètres à vol d’oiseau – et au Laos voisins. A Dali, il fait tout simplement bon vivre.

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Location meublée touristique : la TVA est-elle due ?

Dois-je payer la TVA pour mon activité de locations de biens touristiques ?

L’activité de location meublée est en principe exonérée du paiement de la TVA. Sont toutefois obligatoirement redevables de la TVA les loueurs de biens meublés accomplissantau moins trois des quatre prestations para-hôtelièresque sont l’accueil des clients, le ménage, la fourniture du petit déjeuner et celle du linge de maison. Sauf si leur chiffre d’affaires ne dépasse pas 85 000 euros.

La loi de finances avait prévu d’abaisser ce seuil à 25 000 euros.La mesure a finalement été suspendue jusqu’à la fin de 2025. Une proposition de loi actuellement examinée au Parlement vise à abolir cette réforme. Le sujet devrait toutefois être rediscuté dans le cadre du budget 2026.

Quant aux conditions permettant à l’administration fiscale de qualifier une prestation de para-hôtelière, donc de soumettre le loueur à la TVA, elles ont évolué récemment, à l’été 2024, puisfin mars 2025.

Pour les séjours de cinq nuitées au plus, il suffit maintenant que le linge soit fourni et le ménage fait à l’entrée dans les lieux des locataires pour que la condition soit considérée comme remplie, elle n’a plus besoin d’être renouvelée durant le séjour.

Par ailleurs, si le loueur propose une remise des clés par l’intermédiaire d’une boîte à clés, sans autre option possible, la condition d’accueil n’est plus considérée comme remplie.

Baptiste Bochart(Juriste chez JD2M, jedeclaremonmeuble.com)

Le rosé, un vin facile à boire mais difficile à élaborer

C’était le petit vin blanc qu’on buvait et chantait sous les tonnelles, au mitan du XXesiècle, et pas qu’à Nogent. Mais, à l’heure actuelle, le rosé est bien le roi des terrasses estivales. Un règne partagé avec les bières et le spritz. Le rosé, la boisson de l’été, donc, alors que les vignerons concernés s’évertuent à en faire un vin consommé en toutes circonstances. Par exemple, Eric Paul, vigneron dans le Var, à Montfort-sur-Argens, et président du comité national des « indications géographiques protégées vins et cidre » de l’Institut national de l’origine et de la qualité (INAO) :« Nous avons gardé un côté saisonnier, mais il n’y a rien d’incongru à boire un rosé toute l’année. »

Plus qu’estival, le rosé est « météo-dépendant ». Une année 2024 catastrophique, avec son record de pluies, et la consommation flanche. Mais, dès que le soleil pointe ses rayons, cette couleur revient en force,« même en hiver », assure le site Vinsdeprovence.com, tenu par le Conseil interprofessionnel des vins de Provence (CIVP),« notamment à la terrasse des cafés ou des restaurants des grandes villes, ou alors dans des contextes marqués par les flux touristiques, comme les stations de ski ou les destinations en bord de mer ».

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